Au CSE du 22 octobre 2021, les élus CGT ont posé les questions suivantes :
Suspensions de contrats suite à l’obligation vaccinale
1. Combien de salariés sont à ce jour concernés au sein de l’ADDSEA et sur quels postes et services ?
2. Alors que des postes restent à ce jour vacants, pourquoi l’employeur ne propose-t-il pas aux salariés suspendus des reclassements sur ces postes ?
La réponse de la direction est qu’il y a à ce jour deux collègues en suspension de contrat. Parmi ces collègues, une travailleuse sociale sur le bassin de Besançon, alors qu’au PE2A il y a deux postes d’éducateurs non-pourvu (un poste vacant à l’UVA et un arrêt maladie non remplacé au SAES), la réponse de la direction à la question sur la proposition d’un reclassement de cette collègue sur un des postes vacants a été… une question de diplôme. Pourtant, cela n’avait pas dérangé la direction d’embaucher des jeunes non-diplômés lorsque pendant le premier confinement il y avait un besoin urgent de personnel. Donc oui, il serait possible de pourvoir dans les plus brefs délais à au moins un des deux postes vacants au PE2A, ce qui manque c’est uniquement la volonté de la direction.