Communiqué de l’intersyndicale de l’Université de Franche-Comté (Ferc-Sup CGT, FSU, FO, SUD Education, AMEB Solidaires Etudiant.e.s, UNEF) :
Manifestation pacifique violemment réprimée à la demande du président de l’université – Libération des étudiant.e.s ! Jacques Bahi démission !
Ce mardi 14 février, peu de preuves d’amour de la part de l’équipe présidentielle !
Le syndicat AMEB Solidaires Etudiant.e.s appelait à une occupation pacifique du Conseil d’administration de l’Université pour surseoir à la décision d’appliquer la selection en master et demander la tenue d’une réunion publique. Qu’on les partage ou non, ces revendications sont légitimes et ce n’est pas à la présidence d’en décider autrement.
Vers 14h30, un groupe d’une vingtaine d’étudiant.e.s s’est faufilé dans le bâtiment de la Maison de l’Université rue Goudimel (conquis de haute lutte, rappelons-le, par les étudiant.e.s et personnels de la fac des lettres en 1990) et a réussi à pénétrer dans la salle du conseil, auparavant verrouillée par l’un des DGS adjoints.