CGT ADDSEA

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Archive for 26 novembre 2015

CADA Albert Camus (Bethoncourt) : un exemple à suivre !

Posted by dsinterim sur novembre 26, 2015

cadaTract CGT ADDSEA :

Tous les salariés du CADA Albert Camus de Bethoncourt ont débrayé une heure le 19 octobre 2015 pour dénoncer la dégradation de leurs conditions de travail.

En plus de revendications spécifiques concernant l’organisation du travail et les locaux, les salariés alertent sur la charge de travail qui augmente. En effet, au CADA de Béthoncourt comme à ceux de Besançon et de Pontarlier, le nombre de personnes accueillies augmente sans que soient créés les postes nécessaires, qu’il s’agisse de travailleurs sociaux, de personnel administratif ou d’agents d’entretien.

La simple étude des budgets prévisionnels montre bien que l’accroissement de l’activité n’est pas compensé par des créations de postes. En moyenne, le ratio prix de journée/salarié baisse de 2 euros par jour et par salarié de 2014 à 2015.

Dans les CADA comme ailleurs, des embauches sont nécessaires pour pallier à l’augmentation des mesures pour éviter la dégradation tant des conditions de travail des salariés que de la prise en charge des bénéficiaires. Ceci est d’autant plus scandaleux qu’alors que l’on galère face à la charge de travail, des collègues galèrent, eux, au chômage.

En débrayant, les salariés du CADA de Bethoncourt montrent l’exemple à suivre pour que les directions entendent nos revendications !

Tract en PDF : CADA Albert Camus

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Info CGT sur la fermeture du Service des Correspondants de Nuit

Posted by dsinterim sur novembre 26, 2015

cdn22A force de mobilisations et d’interpellations, le nombre de licenciements au Service des Correspondants de Nuit passerait de 8 à 3 salariés. En effet, la mairie devrait finalement prolonger le service, limité à une intervention sur Planoise, jusqu’au 31 mars 2015, et de faire ainsi la jonction avec la mise en place d’un service de médiation avec les bailleurs.

Un Comité d’Entreprise extraordinaire se tiendra le 1er décembre pour être consulté sur ces licenciements.

Si la CGT continuera à peser pour éviter tout licenciement, les mesures d’accompagnement social proposées par la direction générale restent à ce jour très largement insuffisantes.

Ainsi, la prime extra-légale de licenciement serait limitée à 1 mois ou 1,5 mois de salaires bruts avec des conditions telles qu’aucun salarié ne pourrait finalement y avoir droit. En effet, cette prime ne serait versée qu’à la condition que le salarié licencié reçoive moins de deux offres d’emploi en CDI ou CDD de 6 mois dans les 3 mois (pour la prime d’un mois) ou 6 mois (pour la prime d’un mois et demi) après son licenciement. Il est évident qu’entre recevoir une offre d’emploi et obtenir un emploi il y a une énorme différence !

Concernant la prime de déménagement, la direction générale propose 750 euros pour le déménagement et 250 euros pour les frais d’installation, le tout sur justificatifs. Au-delà des sommes, nous demandons que cette prime soit versée sans justificatif à tout salarié reclassés sur un autre bassin d’emploi, qu’il déménage ou non, et de façon rétroactive. En effet, lorsqu’on accepte par exemple un poste à Montbéliard ou à Autet, c’est au minimum des frais de transport supplémentaire.

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