CGT ADDSEA

Site de la section CGT de l’ADDSEA

Archive for 5 octobre 2015

Besançon : les correspondants de nuit toujours en négociations

Posted by dsinterim sur octobre 5, 2015

L’Est Républicain, 5 octobre 2015 :

DÉPENDANT DE l’ADDSEA (association départementale de sauvegarde de l’enfant à l’adulte), pris en charge financièrement par la ville, le service des correspondants de nuit arrêtera définitivement de fonctionner le 31 décembre prochain. À plusieurs reprises, les salariés du service sont venus manifester avec le soutien des syndicats CGT, CFDT et FO de l’ADDSEA devant l’hôtel de ville à l‘heure des séances du conseil municipal.

Ils se sont à nouveau retrouvés hier après-midi devant la mairie. « Le service comptait vingt personnes, il en reste quatorze. Certaines devraient être reclassées dans un autre service, un autre peut-être à la ville, un autre à la SAIEMB. Il peut y avoir 7 à 8 licenciements économiques », souligne Pascal Descamps délégué CGT à l’ADDSEA.

Lire le reste de cette entrée »

Posted in 2) En lutte ! | Leave a Comment »

Lettre au maire de Besançon

Posted by dsinterim sur octobre 5, 2015

Lettre des salariés du Service des Correspondants de Nuit remise au maire de Besançon avec un millier de pétition contre la fermeture du service ce lundi 4 octobre :

Monsieur le Maire,

La décision unilatérale de la mairie, malgré la volonté de nombreux locataires, de mettre fin au service des correspondants de nuit est confirmée pour le 31 décembre 2015. Selon les propos de la direction générale de l’ADDSEA lors du Comité d’Entreprise du 17 septembre, cette fermeture entraînera la suppression des 14 postes restants avec 7 à 8 licenciements économiques.

A ce jour, la direction ne propose, pour les licenciements économiques qu’une prime extra-légale comprise entre 0 et 1 mois de salaires et une prime de déménagement de 300 euros pour les salariés qui devraient changer de bassin d’emploi, autant dire rien !

Tout doit être fait pour éviter les licenciements, mais si, malheureusement des licenciements doivent avoir lieu, alors il serait inacceptable que des salariés, après huit ans de service, avec des horaires de nuit, et avec des conditions de travail particulièrement pénibles, partent avec seulement le minimum conventionnel ! De la même façon, il est inacceptable que des salariés, après la suppression de leurs postes, doivent supporter les dépenses liées à un déménagement s’ils sont reclassés à Montbéliard, Pontarlier ou sur d’autres bassins d’emploi.

Lire le reste de cette entrée »

Posted in 1) Tracts et communiqués de la section, 2) En lutte ! | Leave a Comment »